La poÂesie ne doit pas rester dans les vieux tiroirs oÁu on l'a souvent placÂee, elle doit descendre dans la rue, elle doit toucher les enfants. Et quoi de mieux que la chanter pour se l'appropirer ? J'ai tentÂe de marcher sur les traces des glorieux Brassens, FerrÂe, Ferrat, qui ont rendu populaires les plus grands poÁetes. Quand la poÂesie se transforme en chanson, elle ajoute une corde Áa son arc. Alors, lisons-la, chantons-la et devenons, Áa notre tour peut-Ãetre, un peu poÁetes ! "Jean RenÂe"